SAXON

**DOMM**MonsterMessages : 13780 Date d'inscription : 19/05/2010

"Call To Arms" est le 19e album
studio de SAXON. Si certains en doutaient encore, le groupe britannique
fait maintenant clairement partie de ceux qui n’ont plus rien à prouver.
En plus d’être un groupe culte, SAXON peut se prévaloir d’une solide
réputation de groupe sérieux, stable, productif et avant tout tourné
vers la musique. Depuis 1976, ces gars-là arpentent le monde pour autant
de tournées de folie presque systématiquement séparées par la
publication de nouveaux albums. Ils ne se sont jamais arrêtés en cours
de route, même durant les périodes difficiles. On ne compte plus les
titres essentiels qu’ils ont offerts au petit monde du Heavy Metal.
Bref, en cette année 2011, Biff BYFORD et ses compères avancent en
terrain conquis et se contentent de faire du mieux qu’ils peuvent, ce
qu’ils ont toujours su faire.

Pourtant, depuis la fin des années 2000, SAXON accuse une petite baisse
de régime. Après un très bon album, "Lionheart" (2004), "The Inner
Sanctum" (2007) a commencé à montrer les limites atteintes par le
concept artistique très NWBHM inauguré en 1985 avec "Innocence Is No
Excuse", et "Into The Labyrinth" (2009) n’a fait que confirmer cette
impression. Craignant de s’encrasser avec l’âge, nos rosbeefs préférés
ont opté pour un virage à bâbord, un retour aux sources, dans l’esprit
des hits intemporels fleurant bon l’huile de vidange du début des années
1980, à la "Wheels Of Steel", "Denim And Leather" et autres "Crusader".
C’est dans cet esprit qu’a été conçu "Call To Arms". Pari gagné ? Pas
tout à fait…

Le moins qu’on puisse dire, c’est que ça commence très fort avec un
titre absolument redoutable en ouverture, "Hammer Of The Gods". Un
rythme effréné, des guitares hystériques, et surtout un chant digne des
plus belles prouesses de cette indestructible légende qu’est Biff
BYFORD. Bien que plus technique que les premiers albums, "Hammer Of The
Gods" évoque avec succès les premiers hits de SAXON, "Heavy Metal
Thunder" en tête, et ne manquera pas d’enflammer les salles de concerts.
Mais on décèle déjà LA faiblesse qui plombe l’album dans son ensemble :
l’absence de riff de-la-mort-qui-tue. Car c’est avant tout ça qui
caractérise la qualité d’un "Strong Arm Of The Law" ou d’un bon vieux
"Dallas 1 PM" : des riffs de légende s’extirpant de guitare
tonitruantes, qui vous donnent envie de vous jeter contre les murs et
dont vous vous souviendrez jusqu’à la fin de vos jours. Et j’ai beau me
passer en boucle les trois quarts d’heure de musique proposés par "Call
To Arms", je ne retrouve rien de tout cela avec cet album.

Oh bien sûr il y a de beaux morceaux de bravoure. Les titres les plus
bourrins sont assurément les meilleurs, "Surviving Against The Odds" et
"Afterburner" en tête. "Chasing The Bullet" est également très réussi
avec sa super ligne de basse sur les couplets. Et Biff est toujours
aussi enthousiasmant. D’ailleurs l’increvable chanteur à la chevelure
dorée fait preuve d’une surprenante vitalité malgré son âge avancé (59
ans au moment de l’enregistrement) : tantôt rageur, tantôt furieusement
mélodique, fidèle à son timbre vocal inimitable, il casse littéralement
la baraque, comme au bon vieux temps. Il livre d’ailleurs sur la plupart
des titres quelques-unes des ses meilleures performances sur la période
récente, et son talent occulte presque totalement celui de ses
comparses musiciens…

Car ce qui a empêché "Call To Arms" d’être aussi bon qu’il aurait pu
être, c’est que malgré l’indéniable talent de Paul QUINN et Doug
SCARRATT, la musique n’est pas à la hauteur de ce qu’on estime être en
droit d’espérer de la part de SAXON. Désireux de renouer avec ses
racines, de proposer une musique plus simple, plus directe, plus
rock’n’roll, le groupe est peut-être allé trop loin dans cette démarche.
Outre l’absence de grands riffs que je viens d’évoquer, certaines
compos paraissent simplistes, parfois un peu faibles, et malgré le
retour à quelque chose de plus brut, de plus sobre, certains passages
manquent cruellement de puissance. Les guitares ne sont plus aussi
pesantes qu’autrefois, et malgré toute leur bonne volonté, les
Britanniques n’ont pas réussi à retranscrire l’ambiance de leurs débuts.
Cela n’empêche pas certains titres d’être intéressants comme je l’ai
évoqué précédemment, mais on en trouve aussi d’autres vraiment pas
enthousiasmants, comme "Back In 79" ou le titre éponyme (malgré une
belle performance de BYFORD sur le refrain), mid-tempo lourdeaux presque
caricaturaux. "When Doomsday Come", titre composé pour le film de
guerre "Hybrid Theory" (1), en plus d’être un poil sirupeux, comprend
une intervention de Don AIREY (DEEP PURPLE), qui est certes un excellent
joueur d’orgue mais qui n’a strictement rien à voir avec la direction
artistique caractérisant les ¾ des pistes de cet album… Les autres
chansons que je n’ai pas évoquées sont cool, mais sans plus, et la
présence d’une version « orchestrale » de "Call To Arms" en fin de
galette est pour le moins subsidiaire.

Bref, il y a à boire et à manger sur ce 19e SAXON, et c’est d’autant
plus embarrassant que nous avons ici affaire à un album de dix pistes
pour tout juste 39 minutes de musique, sans compter le doublon que je
viens d’évoquer. Plutôt décevant, un peu cheap (à l'image de sa pochette
vraiment pas engageante), "Call To Arms" contient tout de même
plusieurs bons moments et même un excellent titre, "Hammer Of The Gods",
taillé pour le live. Il renferme surtout une excellente performance
vocale de Biff BYFORD, qui sauve le disque à lui tout seul, d’où ma note
finale de 3/5. Et bien qu’il manque de consistance, cet album pourra
contenter les fans déçus par l’orientation plus FM des deux précédents
et qui voulaient un retour aux fondamentaux, mais même après plusieurs
passages en boucle, je ne parviens décidément pas à en extraire quelque
chose de véritablement inoubliable. Un skeud mineur, en somme, mais
peut-on vraiment demander plus de la part d’un si grand groupe qui
arrive en fin de carrière ? Peu importe ce qui sort de ses studios,
SAXON reste un groupe de scène, et tant qu’ils continueront à assurer en
live, l’essentiel sera sauf.

Après avoir connu une longue
période d'éclipse, Saxon est définitivement de retour dasn la cour des
grands! "Dogs of war" est en effet un excellent album. A mi-chemin entre
du bon vieux hard rock bien énergique (ça se sent bien au niveau des
solos qui font très rock'n'roll) et un heavy metal typé 80's (plutôt
pour les riffs), cet album ne comporte que des hits. Saxon a de toute
façon l'art de faire des chansons très faciles à mémoriser. A commencer
par "Dogs of war", le morceau éponyme qui ouvre l'album: c'est mid
tempo, mais d'une efficacité incomparable. Ou "Burning wheels", un de
leurs grands classiques. Ou encore la magnifique "Hold on", qui fait un
peu FM mais dont le refrain me prend vraiment aux tripes. Ou encore
"Walking through Tokyo". Ou "Great white buffalo". Ou bien... n'importe
quel autre morceau figurant sur cet album. Et sur scène, pour avoir déja
vu Saxon trois fois à ce jour, je peux confirmer que ces morceaux
cassent tout! En plus, la production suit, ce qui n'a pas toujours été
le cas chez Saxon. Le son est clair, puissant, bref impeccable. Pour la
pochette aussi, ça assure, l'illustrateur auquel les Anglais ont
recourru a vraiment fait un bon travail. C'est difficile d'être déçu en
achetant "Dogs of War"!

Les membres de SAXON ne chôment
pas en cette année 1980, et après le coup d'éclat réalisé avec Wheels Of
Steel, les voici déjà de retour avec un album qui enfonce le clou,
Strong Arm Of The Law. Sous-estimé notamment par la presse et quelque
peu occulté par le succès du disque précédent, cet album est à mon sens
plus rentre dedans que le précédent (et même l'un des plus heavy du
groupe), les compos sont carrément irrésistibles et donnent toute leur
mesure en live. Comment arriver à se contenir sur le gigantesque
"Heavy-Metal Thunder" qui ouvre l'album en grandes pompes (car c'est
bien de heavy-metal dont il s'agit) ? Et comment ne pas chanter à gorge
déployée le refrain entêtant de "Strong Arm Of The Law" ? Et le
mélodique "Dallas 1 P.M." ? Et la baffe "20,000 Feet" ???? Nannnn
injustement sous-estimé je vous dis. Les guitares cassent tout, Biff
chante à s'en décrocher la machoire, la rythmique est véloce au
possible, toujours précise. Rock'n Roll !!!! Ca fait pas longtemps que
je connais cet album, il est monstrueux ! Le complément indispensable de
Wheels Of Steel et un album qui gagne à être reconnu davantage non de
Zeus ! IRON MAIDEN, DEF LEPPARD et DIAMOND HEAD n'ont qu'à bien se
tenir, la locomotive SAXON est lancée à 200 à l'heure !

Tant mieux pour nous...

n.b : je vous conseille l'achat de la réédition de luxe (collection "The
Back To Black Collection") de la doublette Strong Arm Of The Law/Denim
And Leather... ça vaut largement son prix !

Après la sortie de l’excellent
"Unleash The Beast" en 1997, on pouvait se demander dans quelle
direction les britanniques allaient nous amener. La livraison 1999 de
Saxon, "Metalhead", nous montre un groupe qui ne désire pas faire de
compromis. Les compos sont encore plus puissantes que sur le précédent
mais bizarrement, ça le fait beaucoup moins cette fois-ci. La faute sans
doute à des titres moins inspirés ou qui passent moins bien tout
simplement. Mais l’album est loin d’être mauvais. On a seulement la
désagréable impression, à l’écoute de certains morceaux, qu’on les a
déjà entendus ailleurs. Bref, on s’ennuie un peu.

Mais rassurez-vous : on trouve des titres dignes de Saxon (le très
saxonien "Conquistador" et l’épique "Sea Of Life"). De même certains
morceaux tentent d’innover un tant soit peu. Le titre éponyme est assez
lourd et passe relativement bien. Quant aux titres speed et agressifs
"Song Of Evil" et "All Guns Blazing" (ce n’est pas une reprise de Judas
Priest !!! Smile

, ils sont de très bonne facture. Le reste est hélas plus
anecdotique. Saxon, en voulant alourdir ses guitares sur certaines
compos pour sonner plus moderne, ne réussit pas à nous convaincre
totalement.

Au niveau de l’interprétation des musiciens, toujours rien à dire. La
voix de Biff est toujours si particulière. Seul changement notable : le
batteur Nigel Glockler doit quitter le groupe pour des raisons de santé
(il continuera néanmoins à participer à la composition) et est remplacé
par Fritz Randow. A noter la participation de Chris Bay de Freedom Call
pour les claviers et la très bonne production de Charlie Bauerfeind.
En conclusion, un bon album sans plus, qui laisse un arrière-goût
d’inachevé. Dommage dans la mesure où le potentiel était me semble-t-il
bien plus conséquent que le résultat.

1988 c'est décidé, je laisse
tomber les british de Saxon,un des derniers fleurons de la NWOBHM avec
Maiden et Def leppard, qui eux, assurent avec des albums qui tiennent la
route alors que Biff Byford et sa bande s'enterrent tranquillement,
mais sûrement,avec l'album "Destiny".

1999 Saxon sort l'album Metalhead et depuis plus de 10 ans les critiques
sont, enfin, positives. Des journaleux qui sont content ok mais je ne
suis pas sûr de vouloir prendre des risques surtout quand le dit risque
tape dans mon porte monnaie.

2001 Killing ground apparait dans les bacs des disquaires et les
critiques sont unanimes pour leurs 25 ans de carriere, "le grand" Saxon
est de retour.J'ecoute donc le cd et...dès le début surprise: son limite
trash,batterie qui part dans tout les sens...aussi délicat que la
cover.Je passe au track 2 et je retrouve un saxon tout en finesse avec
la superbe reprise de King Crimson "court of the crimson king". Ensuite
l'album continue avec des titres qui se classeront dans les classique du
groupe "hell frezzes over","deeds of glory" et son changement de rythme
au moment du refrain.On trouve aussi sur cette galette des titres plus
speed comme"rock is our life" ou le sublime, le grandiose "dragons
lair".

Dans un registre plus rock n' roll, on a le titre "coming home" qui s'il
n'apporte rien de moderne au groupe, a au moins le mérite de nous faire
taper du pied.Au final, un bon album qui nous prouve que même avec 25
ans de carriere et une tripoté d'album (18 vrais opus),on peut rester un
grand groupe de hard rock.

ps:pour expliquer le pourquoi de ma note j'essaierai de noter chaque titre un à un et de faire une moyenne.

1 Killing ground :7/10 - 2 Court of the crimson...10/10 - 3:comming
home:8/10 - 4 hell frezzes over:9/10 - 5 Dragon lairs:10/10 - 6 you
don't know what you got:5/10 - 7:deeds of glory:9/10 - 8 running for the
border:6/10 - 9 shadows on the wall:7/10 - 10 rock is our life:8/10

Après un Innocence is no excuse
qui a choqué beaucoup de fans à cause de son contenu trop soft, Saxon a
essayé d'opérer un retour aux sources avec un Rock the nations moins
tape-à-l'oeil. Rien qu'avec la pochette, très réussie et typiquement
heavy metal, dans le même style que celle de Thunder and Lightning de
Thin Lizzy, on voit bien que Saxon cherche à faire oublier l'épisode
Innocence. Trop tard, le virage américain est déjà en marche et Saxon a
bien du mal à revenir en arrière. À mi-chemin entre Power and the glory
et Innocence is no excuse, avec une grosse production mettant surtout en
valeur la batterie, les guitares par contre manquent toujours d'un peu
de mordant, pas assez heavy et trop américanisées sans doute, comme sur
Crusader.

Rock the nations marque aussi l'arrivée d'un nouveau bassiste, Paul
Johnson, qui ne fera pas long feu dans le groupe. La présence d'Elton
John sur deux morceaux avait fait scandale à l'époque, les claviers
étaient censés représenter la bête noire du metal. Pourtant, on ne peut
pas dire qu'il ait influencé la couleur du disque, il apporte juste un
plus, il n'y avait vraiment pas de quoi s'alarmer. Northern Lady est
très mélodique avec l'intro au piano, mais ça n'en fait pas une ballade
pour autant. Party til you puke est juste un délire rock 'n' roll, dans
le genre A little bit of what you fancy, en pire. Ca sonne plus comme un
boeuf en studio, enregistré avec deux verres dans le nez, qu'à un
véritable morceau travaillé. Tout le monde a l'air à l'aise et
décontracté dessus, seul le batteur cogne comme un sourd avec sa frappe
metallique, ce qui étouffe le son des autres musiciens qui, eux, jouent
tranquillement.

Voilà pour ces 2 morceaux avec Elton John, un peu à part du reste de
l'album. Dès l'intro de Rock the nations, on dirait que les guitaristes
de Saxon essayent de jouer vite. L'heure est à la virtuosité en
Amérique, avec des shredders blondinets de partout et les solos de Saxon
s'inscrivent un peu dans cette tendance, mais en vain. Disons que le
seul virtuose dans le groupe, c'est Nigel Glockler, les autres ont juste
à balancer deux riffs par morceau, on ne leur en demande pas plus.
Saxon semble perdu le cul entre deux chaises, avec d'un côté les titres
heavy et costauds (Battle Cry, We came here to rock, Running Hot) et de
l'autre des résidus de la période Innocence is no excuse (Waiting for
the night, Northern Lady). A première vue, la déception est grande, rien
ne ressort véritablement du lot. Même la version studio de Rock the
nations est assez poussive, ce titre est bien plus efficace en live. Et
finalement, à force, on finit par apprécier, la paire Oliver/Quinn est
toujours capable de livrer quelques bons riffs (Empty Promises).

Et quand on y repense, Innocence is no excuse souffrait déjà aussi d'un
peu de remplissage. Mais il y avait d'excellents titres pour compenser.
Le problème sur Rock the nations, c'est qu'il n'y a aucun titre
marquant, aucun classique en somme. Rien de mauvais non plus, hormis
l'insupportable américaniaiserie Waiting for the night. Un disque qu'on
ne réécoutera pas souvent en tout cas, le moins bon de Saxon dans les
années 80. Il ne contribuera pas non plus à redorer leur blason, malgré
des prestations live irréprochables. Et commercialement, Saxon ne
retrouvera plus le succès de son âge d'or : trop heavy pour l'Amérique
et trop américanisé pour l'Europe, sans oublier que la concurrence est
sans pitié, avec de biens meilleurs albums metal sortis la même année.
Mais faut relativiser quand même, ils feront pire après : le heavy de
seconde zone des Forever Free, Metalhead et Lionheart ne vaut guère
mieux.

Avec Rock the nation, Saxon
effectuait un retour partiel en arrière et laissait espérer aux fans un
grand Saxon sur le prochain album. Destiny n'est pas vraiment la tuerie
attendue, même pas du tout. au contraire, c'est l'album le plus FM
jamais enregistré par Saxon. Tout a été conçu dans ce sens, que ce soit
le gros son typique des années 80, les choeurs très travaillés ou
l'ajout conséquent de synthés sur les refrains. Même le nouveau batteur
qui remplace Nigel Glockler se situe dans le moule FM.

Destiny ne casse pas des briques mais a le mérite d'être meilleur que
Rock the nation, plus inspiré surtout. Biff est très à l'aise dans ce
hard mélodique et certains refrains sont même très accrocheurs (Calm
before the storm, Jericho siren). Les solos de la paire Quinn-Oliver et
les parties instrumentales sont également réussis sur les titres les
plus heavy (For whom the bell tolls, Where the lightning strikes).

Seuls les titres les plus calmes sont un peu limite et leurs refrains
trop mièvres pour du Saxon, comme sur la ballade Song for Emma, l'abus
de synthés sur We are strong et le trop calme I can't wait anymore,
peut-etre le pire morceau de Saxon.

De tous les groupes de heavy metal des années 80, Saxon est sûrement
celui qui a été le plus touché par la vague du hard FM, au point de
devenir à l'époque la risée de tous les metalleux. En terme de
popularité, Saxon va perdre la plupart de ses fans et ne retrouvera
jamais le succès qu'il avait au début des années 80. Destiny est
correct dans son ensemble, mais je préfère l'album Turbo de Judas
Priest, plus solide. Judas Priest n'avait pas fait la même erreur que
Saxon, celle de rester 5 ans d'affilé dans un style FM, et après Turbo,
le groupe avait très vite rebondi avec Ram it down puis Painkiller.

voila autre site ...METAL PAPY ... autres chroniques pour un groupe qui comme KISS a une longue carrière derrière lui , qui comme KISS a quelque fois fais preuve d une certaine hérence musical , mais dans leur cas il s agissait plus de survie que d opportuniste .... en effet a une époque difficile d exister coincé entre un maiden et un leppard ,tous les deux au sommet de leurs arts sans parler de tous les loups plus ou moins talentueux ( tank , tokio blades ect...)

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**Invité**Invité

cool !

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1. "Procession" 1:47
2. "Sacrifice" 3:58
3. "Made in Belfast" 4:35
4. "Warriors of the Road" 3:32
5. "Guardians of the Tomb" 4:49
6. "Stand up and Fight" 4:03
7. "Walking the Steel" 4:24
8. "Night of the Wolf" 4:20
9. "Wheels of Terror" 4:22
10. "Standing in a Queue"

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Le fan package est disponible sur le site de UDR Music. Il se décline en deux versions : Deluxe (déjà sold out) et Standard...
Tous les détails : http://www.saxon-solidballofrock.fr/news.html

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Sacrifice, le vingtième album de SAXON, sortira le 1er mars en Europe (le 26 en Amérique du Nord) chez UDR Music. Un clip pour le morceau-titre de ce disque a été réalisé.

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SAXON jouera en intégralité son album Denim & Leather (1981) lors du festival-croisière Full Metal Cruise (organisé par le Wacken Open Air). Cela se passera le 7 mai, lors de l’escale du navire à Southampton (Angleterre).

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ça y'est tout le monde se mets a faire des croisieres
comme quoi ça doit rapporter
autant aux groupes qu'aux promoteurs

Petite précision, Saxon ne jouera pas sur le bateau... c'est la croisière qui fait escale à Southampton. Saxon étant dans le coin, ils donneront un concert dans un tout petit club de la ville (The Mo' Club). Dans un premier temps les billets ne pourront être achetés que par les festivaliers...

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Saxon - The Eagle Has Landed Full Album Bonus Tracks

01. Motorcycle man
02. 747 (Strangers in the night) 4:22
03. Princess of the night 9:00
04. Strong arm of the law 13:21
05. Heavy Metal thunder 18:01
06. 20,000 ft 22:11
07. Wheels of steel 25:38
08. Never surrender 24:29
09. Fire in the sky 38:23
10. Machine gun [3:52]
11. And the bands played on 44:57
12. See the light shining 48:02
13. Frozen rainbow 53:27
14. Midnight rider 59:29
15. Dallas 1 pm 1:04:50
16. Hungry years 1:11:04

Bonus Tracks (11-16) recorded Live at Hammersmith Odeon, 1981/1982

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