ACE FREHLEY - Origins Vol.1

La suite de l'article ci-dessus...

Traduction :

Guitariste original de KISS, Ace Frehley a récemment parlé à Fusible à propos de son album solo de reprises, "Origins. Vol 1", qui est sorti en Avril. Vous pouvez maintenant regarder le lien ci-dessous.

En ce qui concerne la façon dont il a choisi les reprises, Frehley a dit: «Je savais que cet album allait venir, et chaque fois que j'avais une idée ou que j'entendais une chanson, je me disais :« Cela pourrait être un bon titre à reprendre., je le notais et j'ai choisi entre trente chansons en essayant de penser à celle que je pourrai également faire vivre;.. cela a été le facteur pour prendre ma décision "

Il a poursuivi: «A l'origine, je n'étais pas excité à ce sujet, mais une fois que j'ai commencé le processus d'enregistrement, cela a juste fait boule de neige.

«Je suis vraiment heureux avec les neuf reprises et les trois remakes de KISS. Je pense que l'ensemble est un bon album."

"Origins. Vol 1" a débuté à la 23e place sur le Top 200 du Billboard, avec une vente de 16.000 album dans la semaine se terminant le 21 avril. Sur le CD le chanteur de KISS Paul Stanley est venu prêté main forte à Ace sur le succès de FREE "Fire And Water". Cette collaboration marque les premières retrouvailles d'Ace et de Paul sur un même enregistrement en studio depuis 1998 et l'album de KISS "Psycho Circus". Il y a également d'autres invités dont Slash sur le classique "Emerald" de THIN LIZZY, Lita Ford qui chante et joue le lead sur le titre des TROGGS "Wild Thing", le guitariste ROB ZOMBIE John 5 accompagne Ace à la guitare et chante sa composition de KISS, le classique "Parasite" pour la première fois, ainsi que "Spanish Castle magic" de Jimi Hendrix, et PEARL JAM Mike McCready joue aussi de la guitare avec Ace alors qu'il chante enfin le pilier du Kiss "Alive!" "Cold Gin".

(eOne)

01. White Room (CREAM)
02. Street Fighting Man (ROLLING STONES)
03. Spanish Castle Magic (Jimi Hendrix) featuring John 5
04. Fire and Water (FREE) featuring Paul Stanley
05. Emerald (THIN LIZZY) featuring Slash
06. Bring It On Home (LED ZEPPELIN)
07. Wild Thing (THE TROGGS) featuring Lita Ford
08. Parasite (KISS) featuring John 5
09. Magic Carpet Ride (STEPPENWOLF)
10. Cold Gin (KISS) featuring Mike McCready
11. Till The End Of The Day (THE KINKS)
12. Rock And Roll Hell (KISS)

RATING: 8/10


To be frank, covers albums are getting to be so passé it becomes subjective to taste and artist loyalty to avoid thinking of them as contract fillers. However, Ace Frehley's on a roll right now, and we like where he's at, so we'll cut the man some slack. After all, in the past, he's done respectable covers of ELO's "Do Ya", SWEET's "Fox On the Run", the STEVE MILLER BAND's "The Joker" and with KISS, the ROLLING STONES's "2000 Man". He also scored a hit for FREHLEY's COMET with Russ Ballard's "Into the Night".

A recipient of a tribute album himself, "Return of the Comet: A Tribute to Ace Frehley", all revolves 360 degrees in the rock cosmos as Ace drops "Origins Vol. 1" upon his fans. Twelve covers, including three KISS classics, and he does a solid, sometimes tremendous job. Coming to Ace's way-back party is Slash, John 5, Lita Ford, PEARL JAM's Mike McCready and, drum roll over top a banner declaring “The Rumors Are True (to an Extent),” Paul Stanley.

Taking on CREAM's "White Room" faithfully with his own cosmic pull on Eric Clapton's psychedelic theatrics, Ace's fading jam feels, much less sounds, terrific. Ace hits up the STONES again with a decent if moderated "Street Fighting Man" before he and John 5 rip into Jimi Hendrix's "Spanish Castle Magic". The two have a blast together and it's one of the densest numbers on the album. The solos are greasy and free-formed, making zero attempts to emulate the late Hendrix. Instead, Ace bonds with John 5 as readily as he does with Slash on their spectacular take of THIN LIZZY's "Emerald".

The collaboration between Ace and Paul Stanley on FREE's "Fire And Water" is naturally going to be the hot spot of "Origins Vol. 1". Though Stanley emailed his vocals instead of recording them live with Ace, the mix is superb. The illusion of mended fences twirls happily in the minds of fans who bought the trading cards, the dolls and begged their parents to stay up late to see KISS's appearance on "The Midnight Special". Even better, Stanley's singing is as marvelous as Ace's bluesy drawling. Even if nothing further manifests from this spirited tag of "Fire And Water", let it ring to the KISS Army as happily as the 1995 family reunion on "MTV Unplugged".

Ace's reboots of KISS's "Parasite", "Cold Gin"and "Rock And Roll Hell", itself a BACHMAN TURNER OVERDRIVE cover, are going to stand the heaviest scrutiny, which they really shouldn't, since Ace naturally knows them inside and out. John 5 appears again with Ace on the banging "Parasite" and the two torch the thing with nearly as much fire as Gene Simmons's most famous trick outside of tongue waggling. Though Simmons's lascivious growls are indelibly imprinted upon "Cold Gin", how many of you fans out there quietly wished Ace got his lead crack at it on the mike? Call it wish fulfillment, as he nails "Cold Gin" from top to bottom. "Rock And Roll Hell", also fielded by Gene Simmons, is played here slow and hefty; though the "Creatures of the Night" version is superior, Ace's solo version rocks well.

LED ZEPPELIN fans won't have any qualms with Ace's thundering haul of "Bring it On Home". He nails the blues-pocked intro, then rockets off in true Frehley fashion. Ace and Lita Ford keep it on the down low, except for Lita's dialed-high vocals, on a by-the-numbers do-up of THE TROGGS's "Wild Thing". Ditto for Ace's fun, if sedate compared to the original, plow through THE KINKS's "Till The End Of The Day".

All of this KISS to-do behind “Origins Vol. 1" smells inherently of an audition for a reclamation of the Spaceman persona that should never have been Ace's to lose. Given Ace's palpable focus on his last three solo albums, the odds makers would say he's on a path to earning it back. The smoke apparently having settled from KISS's Rock & Roll Hall of Fame fiasco, it would be cathartic to see Ace (and Peter) reunited with Gene and Paul. Not so much for a blown-out tour, even if marketing potential dictates otherwise, but for a healing stone project to make their own amends and to their fans who've weathered the drama all these years. Do the right thing, guys.

Read more at http://www.blabbermouth.net/cdreviews/origins-vol-1/#MZIROue2VBvOUW5O.99

Critique d'album
Ace Frehley
Origins Vol. 1
(13/04/2016 - Entertainment One Music - Heavy Metal - Genre : Hard / Métal)


1- White Room / 2- Street Fighting Man / 3- Spanish Castle Magic (ft. John 5) / 4- Fire And Water (ft. Paul Stanley) / 5- Emerald (ft. Slash) / 6- Bring It On Home / 7- Wild Thing (ft. Lita Ford) / 8- Parasite (ft. John 5) / 9- Magic Carpet Ride / 10- Cold Gin (ft. Mike McCready) / 11- Till The End Of The Day / 12- Rock And Roll Hell
Note de 3.5/5

"Quand Ace Frehley fait cohabiter son style heavy, avec ses premiers amours rock n' roll, aux côtés de guest, ça fonctionne"


Ace Frehley sera toujours un membre de Kiss avant d’être un guitariste en tant que tel. L’aventure avec le groupe s’est pourtant arrêtée en 1982, et la carrière solo d’Ace Frehley n’a rien à envier à ce qu’est devenu Kiss après son départ, loin de là ! En témoigne son Space Invader de qualité qui avait, sans faire trop de bruit, ravi les amateurs de heavy metal il y a deux ans. En solo, Ace Frehley fait partie de ces artistes qui maintiennent en vie dans leur coin un genre qui n’a jamais été aussi peu à la mode qu’aujourd’hui, en se faisant plaisir sans prendre de risque. Et dans cette catégorie d’artistes, Ace Frehley est plutôt dans le haut du panier. Alors quand tombe l’annonce d’un album de reprises sur lequel l’intéressé va réinterpréter les morceaux des artistes qui l’ont inspiré, en invitant d’autres musiciens à se joindre à lui, on ne peut qu’être impatient !

Et quand on parle d’inviter d’autres musiciens, on ne parle pas de n’importe qui. L’attention s’est tout de suite focalisée, et c’est normal, sur son duo avec Paul Stanley. Les deux compères de Kiss se retrouvent enfin et forcément, ça fait plaisir. Mais les autres convives sont également remarquables : Slash, John 5, Mike McCready (Pearl Jam) et Lita Ford (ex-The Runaways). Ace Frehley s’attaque dans Origins, Vol.1 au répertoire de Cream, des Stones, de Hendrix et des Kinks, une belle façon de se mettre en danger.

La plus grande réussite de Frehley est d’avoir trouvé le bon dosage entre ses habitudes heavy classiques et le côté beaucoup plus rock n’ roll des morceaux auxquels il a choisi de s’attaquer. Forcément, la batterie tape ici plus fort que celle de Ginger Baker et les guitares sonnent comme des guitares de heavy metal. Mais Frehley a réussi à retranscrire le groove d’époque, le feeling de ces titres et quand on reprend les Stones ou les Kinks, c’est peut-être ça le plus important. On sent que le chant a bien été travaillé pour aller chercher les notes plus hautes de Jack Bruce sur le pont de "White Room", un titre parfait pour ouvrir ce nouvel album tant les premières secondes de la chanson deviennent épiques dans cette nouvelle configuration. C’est seul qu’Ace Frehley s’attaque à la reprise de Cream, comme il le sera pour reprendre les Stones et les Kinks un peu plus loin, et si la reprise est plutôt fidèle à l’originale, les fans de Clapton risquent de ne pas se retrouver dans celui que pose Frehley avec sa wah-wah ici. Disons que c’est plus… Heavy.

John 5 est le premier à rejoindre Ace Frehley, pour reprendre "Spanish Castle Magic" de Jimi Hendrix. Le duo insuffle beaucoup plus de peps à la reprise qu’à l’originale, dont les couplets traînaient un peu en longueur, et se partage les phrases solos sur la dernière minute du morceau. Le jeu de John 5 s’accorde bien plus avec celui d’Ace Frehley qu’on aurait pu le croire, et on a même l’impression que la présence à ses côtés d’un soliste un peu fêlé aide Ace Frehley à se lâcher. Il fonctionne de la même façon avec Slash sur "Emerald" de Thin Lizzy et les deux solistes offrent une longue minute trente de virtuosité en finissant ensemble, harmonisés, pour ce qui est peut-être le meilleur titre de l’album.

Clin d’œil plutôt sympa aux fans, Frehley reprend également quelques titres de Kiss. L’occasion de redécouvrir "Cold Gin", l’une des toutes premières chansons que Frehley a écrites pour Kiss et sur laquelle il est accompagné de Mike McCready, ou bien encore "Parasite" avec une nouvelle fois John 5. Amusant de retrouver sur un disque solo d’Ace Frehley ce titre que le guitariste avait laissé à Gene Simmons au chant à l’époque de son écriture, pensant qu’il la chanterait mieux que lui. Frehley reprend même un troisième titre de Kiss, "Rock and Roll Hell", chanson de Kiss écrite à l’époque où Ace Frehley quitte le groupe et à laquelle il n’a pourtant absolument pas participé durant l’écriture.



On fait finalement assez vite le tour de ce nouvel album d’Ace Frehley, le "Bring It On Home" du bluesman Sonny Boy Williamson II sonne à merveille entre les pattes de l’ancien membre de Kiss, et son duo avec Paul Stanley pour reprendre le "Fire and Water" du groupe Free est à la hauteur de ce qu’on pouvait attendre, bien heavy. Sans avoir plus à en dire, Origins Vol. 1 s’adresse autant aux fans de Kiss qu’aux amateurs de bon vieux hard rock en général, sans être ringard, sans être révolutionnaire non plus. Du bon boulot.

A écouter : "Spanish Castle Magic", "Emerald" et "Bring It On Home"

L’auteur de la chronique (phiphi merci si tu peux nous donner la source ) est un peu gonflé d'affirmer que "la carrière solo d’Ace Frehley n’a rien à envier à ce qu’est devenu Kiss après son départ, loin de là !" Ace est-il est souvent par exemple, tête d'affiche dans les festivals comme le Grasspop ou le Heffest (et j'en oublie) ?

Sonicboom a écrit:

L’auteur de la chronique (phiphi merci si tu peux nous donner la source ) est un peu gonflé d'affirmer que "la carrière solo d’Ace Frehley n’a rien à envier à ce qu’est devenu Kiss après son départ, loin de là !" Ace est-il est souvent par exemple, tête d'affiche dans les festivals comme le Grasspop ou le Heffest (et j'en oublie) ?

Voici le lien pour lire la critique :

http://www.albumrock.net/album-ace-frehley-origins-vol-1-7303.html

Comme je ne m'occupe pas de Kiss, je ne sais pas à quel niveau ils en sont aujourd'hui... je ne peux donc pas comparer !

En revanche, je trouve qu'Ace s'en sort pas mal en ce moment et en tous les cas mieux qu'après son premier départ en 1983. J'espère sincèrement qu'il va continuer sur cette voie !

Sonicboom a écrit:

L’auteur de la chronique (phiphi merci si tu peux nous donner la source ) est un peu gonflé d'affirmer que "la carrière solo d’Ace Frehley n’a rien à envier à ce qu’est devenu Kiss après son départ, loin de là !" Ace est-il est souvent par exemple, tête d'affiche dans les festivals comme le Grasspop ou le Heffest (et j'en oublie) ?

CD Review: ACE FREHLEY – Origins, Vol. 1

written by Rustyn Rose May 29, 2016
Ace Frehley origins vol 1 review


Label: eOne Music

Release Date: April 15, 2016

No one is ever going to confuse Ace Frehley as master class vocalist, but unlike so many new singers of this generation, his voice has a unique character that sets him apart. Being distinctive is something that seems lost these days and it makes too much of the music being made seem a little hollow. With Origins, Vol. 1, Frehley takes listeners back to hear his own take on other unique and distinctive artists who inspired him along his journey. The set features an eclectic mix of covers as well as a re-visiting of three Kiss songs. Ace has come a long way since the days of lying on the studio floor to sing “Shock Me”, but he clearly remembers his roots.

Covers are not new to Ace who had his first solo hit with Russ Ballard’s “New York Groove” in 1978, and later delivered great turns on ELO’s “Do Ya” (Trouble Walkin’, 1989), The Sweet’s “Fox on the Run” (Anomaly, 2009), and Steve Miller’s “The Joker” (Space Invader, 2014).

The album opens with The Cream classic, “White Room”, and despite the song’s rich melody, Ace makes the heart of the song about Clapton’s fretwork. Drummer Scot Coogan does excellent work here as well and even lends his vocals to great effect on the bridge. Despite modern production Frehley managed to capture the raw essence of the original.

Ace shakes it up next with The Rolling Stones’ “Street Fighting Man” which he plays with a bit more crunch and edge than the original, but less acoustic nuance. Let’s face it, for all Keith Richards and Brian Jones talent, they never had the six-string gift that Frehley possesses.

Frehley invited several friends to join him for Origins, Vol. 1, the first of which is fellow guitar icon, John 5, who shares the guitar spotlight on a spin up of Jimi Hendrix’s “Spanish Castle Magic”. Former Frehley sticksman, Matt Starr, returns to handle the drum work on this one, and he does excellent work.

Kiss fans should be quite happy to see Ace pair with his old band mate Paul Stanley, for their cover of Free’s “Fire and Water”. The duo give the track plenty of swing and groove. Stanley taps into the more soulful side of his voice. It is a great to hear the guys teamed up again for one of the album’s highlight tracks.

It is somewhat surprising how well Frehley’s voice lends itself to Thin Lizzy’s “Emerald”. Another of his special guests, Slash joins in on this one, and the two of them deliver a hefty knock out punch.

A Frehley covers album would seem a bit disingenuous if he did not tackle something by Led Zeppelin, it was after all his freewheeling and loose Jimmy Page swagger that made him the right fit for Kiss back in the day. Perhaps the only surprise here is that he chose a more obscure track like Zep’s own take on Willie Dixon’s “Bring it on Home” which once again finds drummer Coogan sharing lead vocal duties with Ace.

Lita Ford joins Ace for a wind up of The Troggs’ classic, “Wild Thing”, which is one of the weaker tracks on the record, primarily due to Ford’s lackluster lead vocals. The guitars and harmonies are fantastic, but Ford has no bite when she sings solo. Conversely Lita’s back-up vocals add a nice rave up quality to the song.

One might wonder why Ace needs to cover his own Kiss song’s, “Parasite” and “Cold Gin”, but longtime fans will remember that due to Frehley’s fear of the microphone (back in the day), Gene Simmons sang lead on the original Kiss recordings back in 1974. After 40 years Ace finally gets to sing them the way he wrote them, and now has four decades of playing the tracks live to bring them to life in true Space Ace fashion. “Parasite” is a monster here with John 5 joining in, and “Cold Gin” is more powerful than ever as Ace invites Pearl Jam guitarist Mike McCready to play along.

Frehley gets a chance to indulge his psychedelic and spacey nature on Steppenwolf’s “Magic Carpet Ride” and he gets his frets blazing on this one. He also shakes loose his rendition of The Kinks’ “Till the End of the Day”, which is easily the weakest point on the record. It is a fine enough cover, but it doesn’t add much punch to the record. Fortuitously it is the briefest track on the album.

The album’s most intriguing song choice is Ace’s cover of “Rock and Roll Hell” from Kiss’ 1982 Creatures of the Night album. Ace never played on the record and did not write this song which makes this an interesting pick. It makes one wonder what that entire record might have sounded like if Ace had actually stayed with the band.

The great thing about cover albums, especially when you have credentials like Ace Frehley, is one can simply let go and have fun, which Ace does here. He has nothing to prove and in that freedom he can relax and let it rip. Origins, Vol. 1 is not going to set the world on fire, but that is not the goal. What Ace has done here is gift fans with a glimpse into his influences and tide them over until his next studio record. In that regard, he has done an amazing job here. Origin’s, Vol. 1 is a fantastic listen and great fun. And of course, most of us are already itching for what might appear on Volume 2.

Rating: 8.2/10

Ajoutée le 27 mai 2016

Ace Frehley joined us for the first ever KFM-BFM Origins. The former KISS guitarist and Rock and Roll Hall of Famer, discusses topics ranging from his early days in the legendary group to his new album Origins: Vol. 1. Enjoy KFM-BFM Origins!

Video: ACE FREHLEY Talks 'Origins Vol. 1' Covers Album, Plays Classic KISS Riffs

May 30, 2016 32 Comments

image: http://assets.blabbermouth.net/media/acefrehley-guitarworld2016_638.jpg
Video: ACE FREHLEY Talks 'Origins Vol. 1' Covers Album, Plays Classic KISS Riffs

Original KISS guitarist Ace Frehley recently stopped by the Guitar World studio to talk about his new his solo covers set, "Origins Vol. 1", which came out in April, and to play a few classic KISS riffs. Check out the footage below.

"Origins Vol. 1" debuted at No. 23 on The Billboard 200, having shifted 16,000 equivalent album units in the week ending April 21. The CD features KISS frontman Paul Stanley joining Ace on FREE's hit "Fire And Water". This collaboration marks the first time that Ace and Paul appear on the same studio recording since KISS's 1998 reunion album "Psycho Circus". Other guests are Slash trading leads on THIN LIZZY's classic "Emerald", Lita Ford singing and playing lead on THE TROGGS staple "Wild Thing", ROB ZOMBIE guitarist John 5 playing guitar alongside Ace as he sings his classic KISS composition "Parasite" for the very first time, as well as Jimi Hendrix's "Spanish Castle Magic", and PEARL JAM's Mike McCready also plays guitar with Ace as he finally sings his KISS "Alive!" mainstay "Cold Gin".

Regarding how he went about choosing which songs to cover, Frehley said: "I knew this album was coming, and every time I got an idea or heard a song that I said, 'That might be a good one to do,' I'd write it down. And maybe I had had, like, thirty songs and I tried to pick ones that I thought I could do live also; that was a contributing factor in my decision."

He continued: "I originally wasn't that excited about it, but once I started the recording process, it just snowballed.

"I'm really happy with the nine covers and three remakes of KISS songs. I think it's a good package."


Read more at http://www.blabbermouth.net/news/video-ace-frehley-talks-origins-vol-1-covers-album-plays-classic-kiss-riffs/#DkekYU2rYKxQDC81.99

ACE FREHLEY Talks New Covers Album, Plays Classic KISS Riffs; Video

May 30, 2016, a day ago

Ace Frehley stopped by the Guitar World studio to talk about his new covers album, Origins Vol. 1, and to play a few classic KISS riffs. Check it out below:

Frehley recently released a video interview via 95.5 KLOS, filmed on set immediately after the video shoot for his cover of Free’s 1970 hit “Fire And Water”, which features none other than KISS frontman Paul Stanley. The six minute clip is the first time the two have been interviewed on camera in over 15 years. The last time the two sat for an interview was during the KISS farewell tour in 2002 in Australia.

The video notches itself into rock and roll history as the first time both Frehley and Stanley appear in a music video since KISS’ music video for “Psycho Circus” released in 1998. It’s also the first time in 14 years that the two shared a stage since KISS’ appearance at the 2002 Winter Olympic Games in Salt Lake City. Finally, it’s the first time Frehley has released a music video since 1989, which was Frehley's cover of "Do Ya" released by both The Move and ELO.

Last month, Ace Frehley cracked the US top 10 with his latest effort Origins: Vol. 1 charting at #1 on the Billboard Hard Music Chart, #3 on the Billboard Rock chart and #6 on the Billboard Current Chart selling more than 16k units in its first week of release according to Nielsen Soundscan. Internationally, the LP most notably came in at #2 on the Sweden Hard Rock Charts and #05 on the England Indie Album Breaker Charts.

j'ai enfin écouté cet album
en un mot "DAUBE" une pure daube
heureusement qu"avant d'acheter un album je le télécharge en premier pour être certain de ne pas acheter de la merde OUF

Ace FREHLEY - Origins Vol.1 (2016)

Par LONG JOHN SILVER le 13 Mai 2016 Consultée 393 fois

Que celui, voire éventuellement celle, qui n’aime pas le Spaceman lève le doigt ! Pourquoi éventuellement ? Parce que le gin froid, voyez-vous, : « faut r’connaître que c’est plutôt une boisson d’homme. » Et là déboule Karen Allen tout droit sortie du premier épisode d’Indiana Jones, donc elle couche tout le monde à l’eau de feu. Après tout, on est dans une production US, mais je m’égare. D’autant plus qu'Ace nous revient de l’outer space et qu’à plusieurs reprises on aurait pu imaginer qu’il y serait resté pour de bon. Mais voilà, le gars réapparaît un peu plus souvent désormais, il est même devenu culte avec la génération de guitaristes débarquant au début des 90’s, juste après que NIRVANNA a délivré la musique de la réverbération avilissante façonnée par les 80’s. Bien avant ça, en 1978, il avait cependant réussi à sortir un album solo démontrant un savoir faire quasiment insoupçonné jusque là. Surtout, ce type a marqué de son empreinte indélébile le groupe qui l’a rendu célèbre, non seulement pour en avoir créé les maquillages ou dessiné le provocateur logo mais encore avec son style de jeu incisif, immédiatement accrocheur. « Personne ne joue de la guitare comme lui », dixit Gene. Alors que ce dernier a plus souvent été enclin à balancer sur son ex-camarade. Les relations entre Ace, Paul et Gene ont toujours été complexes. Voici que l’ami Stanley déclare dans sa bio publiée en 2014 que Ace et Peter sont antisémites* ! Quelques mois avant l’intronisation compliquée du Bisou d’origine au Rock’n’roll Hall Of Fame, ça posait l’ambiance. Mais Ace est de bonne composition. Outre son rire fracassant, le gars affiche une bonhommie à toute épreuve, notamment en proposant à Paul de participer à son album en chantier. Lequel Paul a trouvé fun d’accepter.

Voici qui nous amène à cette réflexion : « KISS s’est plutôt activé depuis le premier départ de Ace en 1982. Moins depuis 2002, après le "Second Coming"** qui a duré tout de même près de six ans, au moins le groupe n’aura cessé de tourner. Or, qu’a fait notre Spaceman bien aimé de son côté ? » Bah pas grand chose à vrai dire. Origins Vol.1 est seulement son 6e disque depuis qu’il a quitté KISS la première fois, il y a près de 35 ans. En plus, c’est un disque de reprises, celui qu’on choisit de placer quand on ne sait pas trop quoi dire. De ce point de vue, Space Ace, c’est un peu l’anti-Prince ou l’anti-Zappa. Pourtant, Ace a réussi a marquer les esprits, au moins autant qu’eux. Ceux d’une quantité phénoménale d’aspirants six-cordistes. Sans qu’ils ne l’aient jamais renié. Oui, je vous vois venir, vous les grincheux de la technique, avec vos arguments déglutissant de tapping, de sweeping et autre mode myxolydien. Allez plutôt lui raconter ça à lui, au Spaceman. Histoire qu’il vous balance son rire incurable en pleine tronche ! Probablement qu'il se fiche de toussa comme de sa dernière course en taxi comète. Ace est un guitariste à la main droite foudroyante purement instinctif, un as du moulinet comme des attaques en piqué. Ajoutons que s’il utilise à peu près toujours les même plans, dont l’efficacité est inoxydable, il parvient souvent à être surprenant tout en conservant un jeu très physique. Percutant.

Alors, on parle tout de même d’un recueil de reprises ici, l’enjeu étant de savoir s’il s’agit d’un truc susceptible de dépasser la curiosité engendrée par l’annonce d’une série d’invités participant à un projet qui (au mieux) ne respire en rien l’originalité. On a encore en tête le souvenir tiède de l’album des Hollywood Vampires***, soit beaucoup de buzz pour principalement du beurre de peanuts. Ici, Ace fait (presque) tout pareil qu’Alice puisqu’il va jusqu’à piocher ses covers dans son propre répertoire 70’s. Mais allez savoir pourquoi, ce qui avait du mal à passer du côté des voisins Hollywoodiens, la faute à un peu tout, réussit bien mieux à l’extraterrestre. Pourtant y on retrouve le même genre de son sous (as)stéroïdes. La batterie particulièrement, où on parvient à faire en sorte que les batteurs deviennent aussi psychorigides que les machines qu’on entendait dans les 80’s. On a envie de dire : « Rendez-nous Baker, Bonham, Kirke… qui sais-je ? Peter Criss ! » On va pas se battre non plus pour jauger la qualité des versions nouvelles de ces standards à l’aune de leurs modèles. Origins Vol.1, dont le concept (éculé) est contenu dans le titre, est un disque censé nous faire découvrir quelques chansons qui ont permis au guitariste de mouler son style. Le programme - pour qui connaît un peu l’oiseau - n’offre rien de surprenant. Pourtant ça fonctionne.

Peut-être parce que Ace parvient à nous prendre par les sentiments ? Aujourd’hui, il est devenu parfaitement sobre pourtant. Au fond, ce disque se tient sûrement parce qu’il réussit à rester cohérent, que l’ordre de ses titres est bien agencé, que les invités prennent soin de s’inscrire dans les pas de leur hôte, les chanteurs comme les guitaristes ! Plus que tout, cet opus irradie de la personnalité ô combien attachante du gaillard, on adore l’entendre chanter « Street Fighting Man », échanger les soli avec John 5 (qui a l’intelligence d’éviter de tomber dans les travers des shredders) sur « Spanish Castle Magic » et « Parasite » et plus encore avec Mike McCready sur « Cold Gin ». Arrive Stanley qui fait son numéro de grande folle pendant « Fire And Water » alors qu’Ace rend hommage au grand Paul Kossoff. Malgré leur exposition, ce ne sont pas « White Room » et « Fire And Water » qu’on a envie de sortir du lot, ni même « Emerald », où s’illustre pourtant Slash. Quelque part, Lita Ford, dont Erwin aurait rêvé d’être le batteur (allez savoir pourquoi ), vient nous émoustiller sur un « Wild Things » qui n'a pu que lui rappeler les années RUNAWAYS. Sympa mais pas franchement marquant. On préfèrera nettement le punch envoyé précédemment sur « Bring It On Home ». La deuxième moitié du disque s’avère davantage réjouissante, les trois reprises de KISS notamment. Passons sur « Parasite » et « Cold Gin », deux incontournables où Ace est flamboyant, pour aborder le cas « Rock And Roll Hell ». Cette chanson figure sur Creatures Of The Night, album datant de 1982 sur lequel Ace n’a fait qu’apparaître sur la pochette. Ce n’est pas la première fois qu’il joue un titre de KISS enregistré après son départ ****, et qu’il se l’approprie sans (se) forcer. J’avoue aussi un petit faible pour la relecture de « Till The End Of The Day », finalement assez pop, qu’on pourrait justement rapprocher de ce qu’on entend de mieux sur le disque des vampires de la colline la plus célèbre de L.A . Mais le sommet de l’opus est atteint par « Magic Carpet Ride », instant magique où le Spaceman rechausse ses platform boots de 7 parsecs, tant le rythme, la mélodie et l’ambiance dégoulinent des meilleurs rimmels. Qui n’a jamais rêvé de voyager en tapis volant ? Ace vous raconte ce que ça fait et ça à l’air bon. Comme quoi, une bonne chanson bien torchée, ça vaut toutes les drogues. Surtout maintenant, alors qu'on est devenu sobre.

Plus le temps passe, plus Ace ressemble à un gros nounours affichant la sagesse du bluesman authentique qui est parvenu à traverser les tempêtes, stellaires ou non, sans chercher à masquer ses cicatrices. Entre deux vacheries échangées puis réconciliations exposées avec ses ex-camarades, celui-ci paraît apaisé, affichant une foi inébranlable envers ce pourquoi tout ceci est arrivé : le rock’n’roll. En attendant un Volume 2 ?

*Ce que rien ne démontre
** Titre d'un docu à la gloire de la reformation du line-up original de KISS en 1996
*** Super groupe (essentiellement) de reprises formé autour d’Alice Cooper
**** « Hide Your Heart » album Trouble Walkin’ 1989

KISS' Paul Stanley Explains Why He Reunited With Ace Frehley (A Top Story)

On Thursday KISS' Paul Stanley Explains Why He Reunited With Ace Frehley was a top rock story. Here is the recap: (Classic Rock) Paul Stanley says it was about time he worked with Ace Frehley again because "life's too short." The KISS frontman appears on former bandmate Frehley's solo album Origins Vol.1, singing on a version of Free's Fire And Water. And in an interview filmed on the set of the video for the track, the pair discuss the collaboration and their relationship.

Stanley tells 95.5 KLOS: "Look, life's too short, and regardless of whatever differences we will have and continue to have and things that we don't agree on, there's no denying what we started together. And what we started together is the reason that we're still here today. So why not celebrate it?"

Frehley left Kiss for the second and final time in 2002 and he was thrilled that he managed to convince Stanley to work with him again. He says: "I'm gonna be honest, I was patiently awaiting the email and finally I got it and I was just completely floored. I thought it was a very special vocal, it brought tears to my eyes. The track came out way better than I anticipated." Read more and watch the interview - here

Ace Frehley
Origins Vol. 1

By Ednor Therriault


Although he's still fleet and flashy, Ace Frehley is not always the best guitarist in the room. During his tenure as the original Spaceman in KISS, he crafted a blues-rock style that was distinctive enough that ensuing replacements in that band have been instructed to cop his style rather than introduce a new musical flavor to their classic sound. But when he goes head-to-head with a monster player like John 5 or Slash, as he does on Origins, Vol. 1, his limitations as a lead guitarist are pretty obvious.
click to enlarge noise_acefrehley.jpg

Don't get me wrong—Space Ace is good at what he does. He takes most of the lead vocals on this collection of cover songs, which are satisfying the way a juicy bacon cheeseburger is. The nutritional value is questionable, but damn, that is a tasty burger. Lita Ford and Mike McCready join the cast of special guests and (gasp!) Paul Stanley even takes a vocal turn on "Fire and Water." KISS fans should rejoice in Frehley's clear-eyed versions of "Cold Gin" and "Parasite," which are still concert staples. The best song here, though, is "Street Fighting Man," notable for its full-on electric guitar assault. Keith Richards played a distorted acoustic guitar on the 1968 original with the Stones, but rather than trying to recreate that sound, Frehley wisely chooses to stay in his lane, stacking up those thick Les Paul chords throughout, making this some tasty hard rock junk food indeed.

CritiquesAce Frehley : Origins Vol 1 (2016)

20 Avr 2016


Écrit par Patryk Pigeon

Album : Origins Vol 1

Style musical : Hard Rock

Compagnie : eOne

NOTE : 8.5/10

Critique de l'album Origins Vol 1 de Ace Frehley.

Le légendaire Space Ace est de retour et il nous offre un album de pur rock! Origins Vol 1 est un album de reprises ou Ace s’amuse à rendre hommage à des artistes qu’il aime beaucoup et il revisite deux de ses compositions de l’époque de Kiss (Parasite et Cold Gin) qui n’avait pas chanté à l’époque. Une belle surprise aussi pour sa reprise de Rock N Roll Hell de Kiss! Les paroles lui collent à la peau c’est clair!

Ace c’est aussi entouré d’invités spéciaux sur l’album. Lita Ford, Slash, John 5, Mike McCready mais surtout Paul Stanley qui rejoint Ace sur la chanson Fire and Water. C’est une première collaboration entre eux depuis plus de 18ans! Le Duo de guitares avec Slash dans la chanson Emerald est à couper le souffle!

Ce qui ressort tout au long de cet album c’est le fait qu’Ace s’amuse avec des bons amis! On dirait pratiquement un « jam » entre amis! C’est rock comme à la façon Frehley et c’est parfait comme ça! C’est aussi un excellent album pour découvrir ou redécouvrir des vieux classiques du hard rock des années 70.

Origins Vol 1 est certainement pour les fans d’Ace et de Kiss mais aussi pour les fans de bon vieux classique rock! Une première partie qui nous donne envie à la suite!

Ace Frehley – Origins Vol. 1 review

Posted on June 3, 2016 by vantheman77 under Entertainment, Music

After the success of his last album, Space Invader, that hit the Top 10 Ace Frehley puts out a covers album called Origins Volume 1 that sees him covers songs that influenced him as well as a few KISS songs that he didn’t sing. Aside from being known as a great guitar player, Ace is also known for doing great covers as well such as Back In The New York Groove and 2000 Man. Origins amplifies that when he covers songs like White Room, Wild Thing, Magic Carpet Ride, and Emerald among others. I hope he covers the Who’s Behind Blue Eyes.

The guests on this album are Lita Ford, Slash, John 5, Mike McCready, and a reunion with original KISS bandmate Paul Stanley on the song called Fire and Water. Ace and Paul did a video and interview for the song that is one of the highlights of Origin Vol. 1. KISS fans are happy with this collaboration between Paul and Ace as they have worked well together over the years. Should Gene Simmons step down from KISS, I can see Paul and Ace running the group in his absence.

Like Anomaly and Space Invader, Origins Vol. 1 is a great album from top to bottom. The KISS songs Ace did on this album are Cold Gin, Parasite, and Rock and Roll Hell. Him not singing those songs on the KISS albums was the reason for him doing it and it’s a way to make up for the times he didn’t sing on the first few albums. These are better versions than the ones on the KISS albums and they fit Ace more than Gene.

Great album from Ace overall as usual.

Tuesday, June 7, 2016

Ace Frehley - Fire And Water

“Fire & Water” is pretty new video from Ace Frehley's latest release "Origins, Vol. 1", this is a covers album, released on April 13, 2016 in Japan and April 15 in the United States.

The album features guest appearances from Slash, Lita Ford, John 5, Mike McCready, and Frehley's former KISS bandmate Paul Stanley.


In addition to covers of tracks by CREAM and THIN LIZZY, Origins, Vol. 1 features newly-recorded versions of several KISS songs which were written but not sung by Frehley, such as "Cold Gin" and "Parasite", as well as a new version of the KISS song "Rock and Roll Hell" which he did not perform on as he was leaving the band at the time.

On the track "Wild Thing", Ace Frehley plays the opening guitar riff while Lita Ford performs all the song's guitar solos.

In a 2016 interview with The Pods & Sods Network, Ace describes other songs that were considered, recorded and plans for Origins, Vol. 2


Today's tune "Fire and Water" (featuring Paul Stanley), is a cover of FREE, written by Andy Fraser & Paul Rodgers

Bientôt 2 ans que l'album est sorti ! Je l'aime bien, c'est une réussite. J'aimerai bien savoir si le deuxième est dans les tuyaux. Si vous avez des infos à ce sujet je suis preneur !

16.12.2019 21:11:54



KirstenW
December 9, 2019


A little while ago, I had the incredible opportunity to play guitar for Ace Frehley on his album “Origins, Vol. 1”. Ace Frehley is a musician that I have looked up to for many years, so this was an amazing experience for me!

Ace grew up in the Bronx, and was surrounded by music his entire life, as both of his parents and his siblings played multiple instruments. Over the years, Ace continued to play guitar, playing in a variety of local bands over the years, but he truly began his music career when he spotted an advertisement for a lead guitarist and auditioned in front of Gene Simons, Peter Criss, and Paul Stanley. The three men were impressed with Frehley’s playing, and named him lead guitarist of what would become the legendary band Kiss.

As lead guitarist, Frehley was known for his frenetic, atmospheric playing becoming one of the most popular guitarists in the 1970s.

Origins, Vol. 1 was Ace’s seventh studio album, and is an album of covers of songs that inspired and influenced the way that Ace has made music throughout his career. The tracks on this album include covers of “Spanish Castle Magic” by Jimi Hendrix, “Street Fighting Man” by The Rolling Stones, and newly recorded versions of several Kiss songs that had been written by but not sung by Frehley, like “Cold Gin” and “Parasite”.

The album also included a cover of “Emerald” by Thin Lizzy, which Slash came and joined us on. While recording this song, There was a point where Slash and Ace were trading guitar solos. The two of them were sitting across from each other on the couch going back and forth and it was an incredible experience!

Other special guests on this album include John 5, Paul Stanley, Lita Ford, and Mike McCready. Alex Salzman did the majority of the recording, but I got the opportunity to finish it up and do the mix, which was amazing! We also had Matt Starr and Scot Coogan on drums, Ray Brandis on percussion, Chris Wyse on bass guitar, and of course, Ace Frehley doing lead vocals, lead guitar, and some bass guitar as well!

Every little kid dreams of working with their idols one day, and I was lucky enough to actually get the opportunity! Playing guitar on that track and working on this album with Ace Frehley was a surreal experience for me, and I loved every moment!

Watch the video below to see more of what went into creating this album!

16.12.2019 21:18:11


Il y a peu de temps, j'ai eu l'incroyable opportunité de jouer de la guitare pour Ace Frehley sur son album «Origins, Vol. 1". Ace Frehley est un musicien que je considère depuis de nombreuses années, donc c'était une expérience incroyable pour moi !

Ace a grandi dans le Bronx et a été entouré de musique toute sa vie, ses parents et ses frères et sœurs jouant de plusieurs instruments. Au fil des ans, Ace a continué à jouer de la guitare, jouant dans une variété de groupes locaux, mais il a vraiment commencé sa carrière musicale quand il a repéré une publicité pour un guitariste principal et auditionné devant Gene Simons, Peter Criss et Paul Stanley. Les trois hommes ont été impressionnés par le jeu de Frehley et l'ont nommé guitariste principal de ce qui allait devenir le groupe légendaire Kiss.

En tant que guitariste principal, Frehley était connu pour son jeu frénétique et atmosphérique devenu l'un des guitaristes les plus populaires dans les années 1970.

Origins, vol. 1 était le septième album studio d'Ace, et est un album de reprises de chansons qui ont inspiré et influencé la façon dont Ace a fait de la musique tout au long de sa carrière. Les pistes de cet album comprennent des reprises de «Spanish Castle Magic» de Jimi Hendrix, «Street Fighting Man» de The Rolling Stones, et des versions nouvellement enregistrées de plusieurs chansons de Kiss écrites par Frehley mais non chantées par Frehley, comme «Cold Gin » et « Parasite ».

L'album comprenait également une reprise de "Emerald" de Thin Lizzy, sur laquelle Slash est venu nous rejoindre. Pendant l'enregistrement de cette chanson, il y avait un moment où Slash et Ace échangeaient des solos de guitare. Les deux étaient assis l'un en face de l'autre sur le canapé et faisaient des allers-retours et ce fut une expérience incroyable !

Les autres invités spéciaux de cet album sont John 5, Paul Stanley, Lita Ford et Mike McCready. Alex Salzman a fait la majorité de l'enregistrement, mais j'ai eu l'occasion de le terminer et de faire le mix, ce qui était incroyable ! Nous avons également eu Matt Starr et Scot Coogan à la batterie, Ray Brandis à la percussion, Chris Wyse à la guitare basse et bien sûr, Ace Frehley à la voix principale, à la guitare principale et à la guitare basse aussi !

Chaque petit enfant rêve de travailler avec ses idoles un jour, et j'ai eu la chance d'en avoir l'occasion ! Jouer de la guitare sur cette piste et travailler sur cet album avec Ace Frehley a été une expérience surréaliste pour moi, et j'ai adoré chaque instant !

Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur la création de cet album !

10.01.2020 08:12:10

13.09.2021 09:26:10



491 vues . 11 sept. 2021

Ace Frehley and Slash in the recording studio, recording the guitar solo for Emerald on Ace's Origins vol 1. Plus The cd version of Emerald with the live guitar solo inserted.