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04.02.2024
Bien avant d'être une superstar mondiale et un goliath économique, Taylor Swift n'était qu'un simple groupe de soutien avec un costume d'Ace Frehley.

L'icône pop Taylor Swift est peut-être la plus grande superstar du monde de la musique – sa tournée Eras actuelle devrait rapporter plus d'un milliard de dollars, soit plus que le PIB annuel des Samoa – mais il fut un temps où Swift n'était qu'un simple acte de soutien.

En 2009, Swift a soutenu la star du comté Keith Urban lors de neuf concerts de sa tournée mondiale Escape Together, une aventure de 69 dates qui a visité précisément trois des 195 pays du monde.

Il existe une tradition établie de longue date selon laquelle les groupes en tournée se font des farces à la fin d'une série de dates, et Swift n'a pas déçu. Le 8 août, la tournée s'est déroulée à Kansas City, dans le Missouri, pour un spectacle au Sprint Center, d'une capacité de 18 000 places. Swift a joué un set de 10 chansons, sa dernière de la tournée. Urban a suivi, mélangeant ses propres chansons avec des reprises de Who Do You Love? de Bo Diddley. et les bras ouverts de Journey. Et puis, pendant Kiss A Girl – un des trois meilleurs succès américains pour Urban plus tôt dans l'année – Swift et son groupe ont fait leur saut, s'écrasant sur scène habillés en Kiss.

Ce n’est pas une invasion sans enthousiasme. Les farceurs pop arborent du maquillage, des bottes à plateforme, des perruques spectaculaires et des pantalons des plus serrés. Swift est venu sous le nom d'Ace Frehley, avec des cheveux personnalisés, un maquillage Spaceman et ce qui ressemble beaucoup au costume sous licence officielle Love Gun, disponible dès maintenant sur le site Web Kiss Replicas.

Les musiciens restent sur scène pour le reste de la chanson, mimant joyeusement et imitant la posture de Kiss sur scène, avant que Swift n'enlève sa perruque à la mort et ne jette ses cheveux, peut-être pour que les personnes présentes puissent confirmer que, oui, c'est bien elle.

Ce n'était pas la première excursion de Swift dans le domaine du hard rock : l'année précédente, elle était apparue avec Def Leppard dans la très populaire émission télévisée Crossroads de CMT, qui associait des stars de la musique country à des artistes d'autres genres. Joe Elliott and Co. a collaboré avec Swift et son groupe sur 11 chansons pendant la soirée, dont Leppard's Photograph, Hysteria, When Love And Hate Collide, Pour Some Sugar On Me, Love et Two Steps Behind.

"Les gens nous regardaient comme si nous avions trois têtes lorsque nous avons annoncé que nous allions faire cette émission télévisée avec Taylor Swift", a déclaré Elliott à Classic Rock. « Le but est de faire jouer deux artistes extrêmement opposés… Nous avons simplement vu cela comme une opportunité de faire quelque chose de différent. Et c’était un plaisir phénoménal.

22.02.2024
783 vues . il y a 1 jour
In today's video we take a look at and review Ace Frehley's 10th Anniversary version of Anamoly in a 2LP splatter vinyl with 3 bonus tracks! This is from Ace's label MNRK Heavy and is super cool!
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Ace Frehley 10th Anniversary Anomaly 2LP Splatter Vinyl Unboxing and Review!

22.04.2024

25.04.2024
1 608 vues . 24 avr. 2024 #acefrehley #genesimmons #petercriss
In todays video we take a look at a backstage video of Ace Frehley, Eric Carr, Gene Simmons and Paul Stanley looking at vinyl pressings of KISS' latest album at the time, Creatures of the Night.
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KISS Backstage Looking At Pressings of Creatures of the Night With Ace!

26.04.2024
By Andrew Daly published yesterday

Ryan Cook and Jeremy Asbrock have worked with Ace Frehley and Gene Simmons, but say it’s time for them to stand on their own, er, four feet...


Some rock stories are grand; others are a grind. And Ryan Cook and Jeremy Asbrock – who, after roving as session musicians, caught a break with Gene Simmons before connecting with Ace Frehley – have experienced both.

On Simmons’ and Frehley’s influence, Cook says, “It’s omnipresent. Through them, I learned about song structure; I’ve always been aware that a song needs to grab you, but it takes more than a good riff to keep you there.”

Asbrock, a fellow Kiss Army member, agrees, saying, “I started playing guitar because of Kiss, so it’s in my DNA. There are nuances – some I wasn’t aware of until I played with Gene – that found their way into my riffs.”

Kiss fans know that the band’s greatest strength is making sure the guitars, while simple, have different textures while retaining what Paul Stanley refers to as the sound of “one big guitar.”

Judging by Cook and Asbrock’s eponymous new eight-song record, Rock City Machine Co., they agree with the Kiss formula.

“We try to ensure there aren’t two guitars playing the same thing,” Asbrock says. “Ace is very good at creating a song within a song when it comes to solos, and I’ve always thought along those lines.”

Sure, Kiss is a considerable influence, and yes, Cook and Asbrock remain members of Frehley’s band, but Frehley isn’t getting any younger, meaning it was time to stand alone.

“It felt like the time,” Cook says. “People back home in Nashville kept asking. I think the universe was trying to force us into it. We might have regretted it if we didn’t at least give it a stab – and the results have exceeded our expectations.”

Songs like Soul for the Gold and The Last Time show plenty of potential, and the response from the faithful backs that up.

As for what’s next, Cook says, “My outlook is glass half full – and silver linings. The industry is a challenge, but I’m seeing this through. A positive mindset and great music will take this record to the masses. Bring it on!”

Asbrock agrees with his longtime friend. “People will love the songs if they hear them,” he says. “They don’t sound like they are copping a vibe off any band; they sound like songs you’ve heard your whole life without being a rip-off.

“The tunes are fun and give off a fun vibe; opportunities will present themselves, much like the creation of the band and record.”

26.04.2024
Ryan Cook et Jeremy Asbrock ont ​​travaillé avec Ace Frehley et Gene Simmons, mais disent qu'il est temps pour eux de se débrouiller seuls, euh, de quatre pieds...

Certaines histoires de rock sont grandioses ; d'autres sont une corvée. Et Ryan Cook et Jeremy Asbrock – qui, après avoir erré en tant que musiciens de session, ont fait une pause avec Gene Simmons avant de se connecter avec Ace Frehley – ont vécu les deux.

À propos de l’influence de Simmons et Frehley, Cook déclare : « Elle est omniprésente. Grâce à eux, j'ai appris la structure des chansons ; J’ai toujours été conscient qu’une chanson doit vous captiver, mais il faut plus qu’un bon riff pour vous y maintenir.

Asbrock, un autre membre de Kiss Army, est d’accord et déclare : « J’ai commencé à jouer de la guitare grâce à Kiss, donc c’est dans mon ADN. Il y a des nuances – certaines dont je n’avais pas conscience avant de jouer avec Gene – qui se sont retrouvées dans mes riffs.

Les fans de Kiss savent que la plus grande force du groupe est de s'assurer que les guitares, bien que simples, aient des textures différentes tout en conservant ce que Paul Stanley appelle le son d'une « grande guitare ».

À en juger par le nouveau disque éponyme de huit chansons de Cook et Asbrock, Rock City Machine Co., ils sont d’accord avec la formule Kiss.

"Nous essayons de nous assurer qu'il n'y a pas deux guitares qui jouent la même chose", explique Asbrock. "Ace est très doué pour créer une chanson dans une chanson lorsqu'il s'agit de solos, et j'ai toujours pensé dans ce sens."

Bien sûr, Kiss a une influence considérable, et oui, Cook et Asbrock restent membres du groupe de Frehley, mais Frehley ne rajeunit pas, ce qui signifie qu’il était temps de rester seul.

«C'était le moment», dit Cook. « Les gens à Nashville n’arrêtaient pas de le demander. Je pense que l'univers essayait de nous y forcer. Nous aurions pu le regretter si nous n’avions pas au moins tenté le coup – et les résultats ont dépassé nos attentes.

Des chansons comme Soul for the Gold et The Last Time montrent beaucoup de potentiel, et la réponse des fidèles le confirme.

Quant à la suite, Cook déclare : « Mes perspectives sont le verre à moitié plein – et des lueurs d’espoir. L’industrie est un défi, mais j’y parviens. Un état d'esprit positif et de la bonne musique permettront à ce disque d'être diffusé auprès du grand public. Apportez-le!"

Asbrock est d'accord avec son ami de longue date. « Les gens adoreront les chansons s’ils les entendent », dit-il. « Ils n’ont pas l’air de copier l’ambiance d’un groupe ; elles ressemblent à des chansons que vous avez entendues toute votre vie sans être une arnaque.

« Les morceaux sont amusants et dégagent une ambiance amusante ; des opportunités se présenteront, tout comme la création du groupe et du disque.

26.04.2024